L’ONG Benin Environment and Education Society réunit les comptables et les directeurs exécutifs à l’Hôtel SOSSA à Cotonou pou mieux les outiller sur les fondamentaux d’une bonne gestion financière de leur structure.
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Mieux outiller les ONG intervenant dans le domaine de l’environnement sur les fondamentaux d’une bonne gestion financière de leur structure. Tel est l’objectif visé par l’ONG Benin Environment and Education Society en réunissant les comptables et les directeurs exécutifs du 15 au 19Mai 2017 dans la salle de conférence de l’Hôtel SOSSA à Cotonou.
Cinq jours durant, les comptables, les directeurs exécutifs et coordonnateurs des ONG ont été formés par Philippe LE JALLÉ, expert en Gestion Administrative et Financière et consultant à Mango sur la gestion financière, la budgétisation, l’enregistrement des dépenses, les rapports de suivie de programme, le contrôle interne etc.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre de du programme SRJS (Shared Resources, Joint Solutions), un programme de sauvegarde des Biens Publics Mondiaux (BPM) financé par IUCN-Pays-Bas dont BEES assure la coordination.
« Les ONG naissent et disparaissent faute d’une bonne gestion financière. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons initié cette formation afin d’aider les ONG à mieux gérer les fonds à eux allouer par les bailleurs » à martelé Maximin DJONDO, Directeur Exécutif de BEES-ONG.
« Toutes les ONG formées seront suivit après la formation. Nous leur avons demandé d’intégrer un plan d’action dans leur travail journalier afin de mieux les suivre pour que le rendement final soit acceptable. Egalement des visites régulières seront faites pour vérifier si les nouvelles méthodes ont été prises en compte » à signifié Salathiel MUNYEMANZI, responsable financier de la zone Afrique à l’IUCN Pays-Bas.
Au terme des cinq jours de formation, les participants se disent satisfaits de l’approche participative employée par le formateur, une méthode qui leur a permis de mieux cerner l’importance de leur rôle dans le maintien des relations avec les bailleurs. Ils promettent, comme le souhaitent les organisateurs, revoir leur système de gestion financière afin d’attirer plus de partenaires financiers et de gagner leur confiance pour la pérennité de leurs activités.
